... mes tourments indélébiles
En 1804, sur son blog, enfin dans ses Journaux Intimes, Benjamin Constant (tiens) écrivait des trucs bien que je ne peux que corroborer : "Les devoirs et les intérêts de la vie commune sont un poids douloureux qui étouffe les facultés intellectuelles. Les philosophes anciens l'avaient bien senti : l'ataraxie qu'ils recommandaient n'était que la séparation des deux genres de vie que de nos jours les hommes s'opniâtrent à concilier."
Avant lui, ces vieilles statues de marbre avaient donc déjà tout compris. C'est donc bien cela. Oui d'accord, mais comment faire ?
(Photo : Ben / Lisbonne, Avril 2007)
Avant lui, ces vieilles statues de marbre avaient donc déjà tout compris. C'est donc bien cela. Oui d'accord, mais comment faire ?
(Photo : Ben / Lisbonne, Avril 2007)
2 commentaires:
et bé voilà pourquoi j'ai plus d'inspiration! ;o)
Tout est interdépendant et donc vide d'essence propre...Vive la vacuité (enfin pour l'instant je m'en passerais bien)
te lisant et lisant les posts, j'ose à peine l'écrire : "ataraxie" ???
je pense que je vais décider ce soir de faire chambre commune avec mon dico ... chambre à part avec ma honte.
merci benj ?
ps : en même temps, aucun souci ce matin pour aller au boulot, aucun souci ce midi à la cantoche, aucun souci ce soir dans le métro ... et pourtant pas d'ataraxie dans ma vie... pas encore.
un prénom peut-être ? ce mot est beau.
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